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Le projet

Après 10 ans d’existence et une transformation en une coopérative (SCIC) nous avons pris la décision, fin 2021, d’investir dans une nouvelle plateforme logistique afin de changer d’échelle et de réaliser la vision qui nous anime depuis le début : relocaliser l’alimentation stéphanoise en facilitant la distribution et l’accès à des produits locaux, paysans et bio, en court-circuit et à tarifs éthiques.
Découvrez les coulisses de De la Ferme au Quartier en vidéo !

2023, l'année de la reprise !

De la Ferme au Quartier c’est aujourd’hui 1,3 million d’€ de chiffre d’affaires, 90 fermes réunies, autant de clients professionnels, 1900 clients particuliers actifs, 110 coopérateurs, 20 administrateurs, 12 salariés et une bonne trentaine de bénévoles.


« Derrière ces chiffres très enthousiasmants se cache une réalité plus dure : notre développement a été ralenti en 2021 et 2022 par la crise post-covid, l’inflation, la flambée des prix de l’énergie, … »

En effet, les récents événements ont mis un sérieux coup de frein à notre développement. Mais aurait-on pu prévoir ces événements ? Et surtout, aurait-on pu nous passer de cet investissement pour sortir de la marginalité et faire des circuits-court une alternative crédible et désirable ? Nous sommes convaincus que non !

Nous pouvons nous féliciter d'avoir tenu le cap pendant ces deux années et nous réjouir du retour de la  croissance à deux chiffres en 2023 !

Pourquoi une levée de fonds ?

Face à ces difficultés, nous avons amorcé une grande série de chantiers visant à développer nos ventes et maîtriser nos marges afin de renforcer notre modèle économique :
- Poursuite de la prospection auprès des acteurs de la restauration collective et scolaire
- Amélioration continue de la qualité de notre service
- Adaptation de notre offre (gammes de produits et service de livraison) aux besoins de nos clients
- Ouverture de 4 à 6 nouveaux points de distribution à destination des particuliers
- Refonte de l'offre de Groupements d'Achats
- Renforcement de nos liens avec le réseau étudiant
- Amélioration de notre site internet et de notre boutique en ligne
- Chantier de réduction de nos pertes
- Baisse de nos charges

Ces efforts commencent à porter leurs fruits ! Néanmoins nous avons besoin de renforcer notre trésorerie pour passer ce cap, pérenniser le modèle de la Ferme au Quartier et continuer de nourrir sainement, durablement et équitablement les stéphanois.

L’objectif est de faire grandir le capital de La Ferme au Quartier de 50 000€. Et c’est pourquoi nous faisons aujourd’hui appel à vous.

Prendre des parts sociales, dès 50€, c’est œuvrer pour un monde plus durable, c'est participer au développement d'une alternative positive aux circuits longs, c'est réaffirmer votre soutien aux producteurs et salariés qui approvisionnent et font fonctionner la coopérative au quotidien.
Enfin, ce n’est pas du don mais bien un investissement ! Nous avons fait le choix de parts sociales non rémunérées afin de préserver la juste rémunération des producteurs. Néanmoins, les parts sociales vous confèrent un droit de vote lors des Assemblées Générales.


Comment ça marche ?

1- Informez-vous !

Avant de devenir sociétaire, nous devons nous assurer que vous avez pris connaissance des documents ci-dessous.

2- Remplissez et signez le bulletin de souscription et renvoyez-le nous par mail à l’adresse compta@delafermeauquartier.org ou par courrier à l’adresse suivante (attention à bien conserver un exemplaire) :

De la Ferme au Quartier
2 rue Bénévent
42000 Saint-Étienne


Dans les deux cas, le bulletin devra être accompagné d’une copie de la pièce d’identité du sociétaire ainsi que d’un justificatif de domicile.

 

3- Réglez le montant de vos parts en ligne par chèque (à l'ordre de De la Ferme au Quartier) ou par virement (notre RIB est disponible ici).

« Nous ne sommes ni le genre à baisser les bras ni à faire des concessions. Pour rien au monde nous ne remettrons en cause nos valeurs ni nos engagements. Nous nous battrons toujours avec autant de ferveur et, c’est sûr, ensemble, nous prouverons que les modèles alternatifs d’aujourd’hui seront la norme de demain ! »